News Analysis: Egypt's Morsi faces

News Analysis: Egypt's Morsi faces Western pressure to listen to protesters


by Mahmoud Fouly, Tian Dongdong

CAIRO, June 2 (Xinhua) -- The position of Egyptian President Mohamed Morsi is getting all the more unstable as increasing Western pressures urge the Islamist-oriented president to listen to the demand of protesters, local political experts said.

Morsi is now facing a wave of protests nationwide that request him to step down and ask for an early presidential election. Despite being in their millions, his supporters, mostly Islamists, are greatly outnumbered by his opponents, who flood the country's main streets and public squares, vowing no return before his ouster.

On Monday, the Egyptian army gave all rival parties a 48-hour deadline to resolve the ongoing political conflict, or it would impose a roadmap for the future of the chaos-stricken country.

U.S. President Barack Obama made a phone call to Morsi early Tuesday morning to convey his concerns about the recent developments in Egypt, the White House said.

"The United States is committed to the democratic process in Egypt and does not support any single party or group," Obama told Morsi.

"He (Obama) stressed democracy is about more than elections," encouraging Morsi to take "responsive" steps to the many anti- president protesters throughout the country and underscoring "deep concern" about possible violence during the demonstrations.

Also on Tuesday, spokesman of the UN High Commissioner for Human Rights, Rupert Colville, said "we call on the president of Egypt to listen to the demands and wishes of the Egyptian people."

French Foreign Minister Laurent Fabius similarly urged Morsi to "listen" to the protesters' demands.

Sobhi Essaila, political expert with Al-Ahram Center for Political and Strategic Studies, told Xinhua that "it seems that the United States has made its decision to give up Morsi and the Muslim Brotherhood (MB)."

Essaila said Morsi is not only facing "Western pressures," but he is also squeezed by "internal dissatisfaction of his own men, represented in the resignation of several key ministers and officials."

He also expressed his belief that Morsi's administration "had already decayed," noting that even if Morsi offers to hold a referendum over his stay, "it has become too late."

"The only way to rescue himself and his group is to hold an early presidential election so that the MB could still be part of the political equation," said the expert.

The West's concerns grew after clashes between Morsi's opponents and proponents killed at least 24 and injured more than 1,200 over the past week. Confrontations continued on Tuesday, killing at least seven and injuring over 200 as the countdown for the military's ultimatum is ticking.

Ahmed al-Fadali, political expert and general coordinator of the Independent Current, said the West and the United States usually cover their support for any regime under support of its own people.

"When this cover is removed by public anger, the United States and the West do not have another option but to go with the pulse of the streets," Fadali, who represents 30 political parties, told Xinhua.

Fadali, also head of the Democratic Peace Party, echoed Essaila 's opinion that Morsi had become the weaker side of the equation. "Perhaps he is even out of the equation as it were."

He added that even if Morsi refuses to quit, he actually has already been sacked by millions of people who took to the streets against him on June 30.

"The scene would have been too dangerous without the armed forces," Fadali stressed, adding that the best way for Morsi is to resign within the coming few hours, before the army's ultimatum is over.

However, in a televised speech on Tuesday night, Morsi said there would be no alternative for legitimacy and that he would pay his life as price for it.

Political science professor Tharwat Badawi told Xinhua that he expects Morsi to try to reach an understanding with his rivals instead, otherwise there would be "rivers or seas of bloodshed."

Badawi blamed the ongoing conflicts on a broad U.S.-Israeli plot to control the region and guarantee the security of Israel " which will not be achieved with the rise of an Arab country like Egypt."

結果 (法文) 1:

Analyse nouvelles: morsi de l'Egypte face à la pression occidentale pour écouter les manifestants


par Mahmoud Fouly, tian dongdong

caire, 2 juin (Xinhua) - la position du président égyptien Mohamed Morsi devient d'autant plus instable que l'augmentation des pressions occidentales exhortent le président islamiste orientée à l'écoute de la demande des manifestants, les experts politiques locaux ont dit.

Morsi est aujourd'hui confrontée à une vague de protestations au niveau national qui lui demandent de démissionner et de demander une élection présidentielle anticipée. en dépit d'être dans leurs millions, ses partisans, en majorité des islamistes, sont beaucoup plus nombreux que par ses adversaires, qui inondent les rues principales du pays et sur les places publiques, promettant pas de retour avant son éviction.

le lundi,l'armée égyptienne a donné tous les partis rivaux un délai de 48 heures pour résoudre le conflit politique en cours, ou qu'il imposerait une feuille de route pour l'avenir du pays dévasté par le chaos.

nous Le président Barack Obama a fait un appel téléphonique à morsi tôt mardi matin à transmettre ses préoccupations concernant les récents développements en Egypte, la Maison Blanche a dit

."Les Etats-Unis se sont engagés dans le processus démocratique en Égypte et ne soutient aucun parti unique ou d'un groupe," Obama a dit Morsi.

"Il (Obama) a insisté sur la démocratie, c'est plus que des élections», encourageant Morsi à prendre "sensibles" mesures aux nombreux manifestants anti-président à travers le pays et soulignant sa «profonde inquiétude» au sujet de possibles violences lors des manifestations.

Toujours mardi, le porte-parole du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, Rupert Colville, a déclaré: «nous demandons au président de l'Egypte à écouter les demandes et les souhaits du peuple égyptien."

françaises ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius même exhorté Morsi à «écouter» les revendications des manifestants.

sobhi essaila, expert politique avec le centre Al-Ahram pour les études politiques et stratégiques,a déclaré à Xinhua que "il semble que les États-Unis a pris sa décision de renoncer à Morsi et les Frères musulmans (mb)."

essaila dit Morsi n'est pas seulement confronté à "des pressions occidentales», mais il est aussi pressé par "insatisfaction interne de ses propres hommes, représentés dans la démission de plusieurs ministres et des fonctionnaires clés. "

Il a également exprimé sa conviction que l'administration de Morsi "avait déjà pourri", notant que même si Morsi propose d'organiser un référendum sur son séjour, "il est devenu trop tard."

"le seul moyen de lui-même et son groupe sauver est de tenir une élection présidentielle anticipée afin que les mb pourraient encore faire partie de l'équation politique », a déclaré l'expert.

les préoccupations de l'Occident a augmenté suite à des affrontements entre les opposants et les partisans tué au moins 24 de Morsi, et blessé plus de 1.200 au cours de la dernière semaine. affrontements ont continué mardi, tuant au moins sept personnes et en blessant plus de 200 que le compte à rebours pour l'ultimatum de l'armée est compté.

Ahmed al-Fadali, politologue et coordinateur général du courant indépendant,dit l'Ouest et les Etats-Unis couvrent généralement leur soutien à tout régime sous l'appui de son propre peuple.

"lorsque cette couverture est enlevé par la colère du public, les États-Unis et l'Occident n'ont pas d'autre choix que d'aller à l'impulsion de la rue ", Fadali, qui représente 30 partis politiques, a déclaré à l'agence Xinhua.

Fadali, également chef du parti de la paix démocratique,fait écho à l 'avis de essaila que Morsi était devenu le côté le plus faible de l'équation. «Peut-être qu'il est encore hors de l'équation en quelque sorte."

Il a ajouté que même si Morsi refuse de quitter, il a effectivement déjà été saccagée par des millions de personnes qui sont descendues dans les rues contre lui en juin 30.

" la scène aurait été trop dangereux sans les forces armées ", a souligné Fadali,ajoutant que le meilleur moyen pour Morsi est de démissionner dans les prochaines quelques heures avant l'ultimatum de l'armée est terminée.

cependant, dans un discours télévisé mardi soir, Morsi a dit qu'il n'y aurait pas d'alternative à la légitimité et qu'il paierait sa la vie comme prix.

professeur de sciences politiques Tharwat Badawi a déclaré à Xinhua qu'il s'attend à Morsi pour tenter de parvenir à un accord avec ses rivaux à la place, sinon il y aurait "des rivières ou les mers de sang."

Badawi a blâmé les conflits en cours sur une vaste complot américano-israélienne pour contrôler la région et de garantir la sécurité d'Israël "qui ne sera pas atteint avec la montée d'un pays arabe comme l'Egypte."

結果 (法文) 2:

Analyse des nouvelles : Morsi de l'Egypte fait face à des pressions occidentales pour écouter les manifestants


par Mahmoud Fouly, Tian Dongdong

Caire, 2 juin (Xinhua)--la position du Président égyptien Mohamed Morsi devient tous le plus instable que les pressions occidentales croissantes exhorte le Président islamiste orienté à l'écoute de la demande des manifestants, les experts politiques locaux dit.

Morsi fait désormais face à une vague de protestations dans tout le pays qui lui demander de démissionner et demander une élection présidentielle anticipée. Bien qu'il soit par millions, ses partisans, principalement des islamistes, sont considérablement dépassés en nombre par ses adversaires, qui inondent les principales rues et places publiques, ne jurant aucun retour avant son éviction.

lundi, l'armée égyptienne a donné à tous les partis rivaux un délai de 48 heures pour résoudre le conflit politique en cours, ou il imposerait une feuille de route pour l'avenir du pays dévasté par le chaos.

le Président américain Barack Obama a fait un appel téléphonique à Morsi tôt mardi matin à part de ses inquiétudes concernant les développements récents en Egypte, la maison blanche dit.

« Les Etats-Unis s'engage envers le processus démocratique en Egypte et ne supporte pas un parti unique ou un groupe, » Obama a dit Morsi.

"He (Obama) soumis à une contrainte la démocratie est bien plus que des élections," encourageant Morsi à prendre des mesures « sensibles » pour les nombreux manifestants anti-Président dans tout le pays et en soulignant la « profonde préoccupation » sur la violence possible pendant les manifestations.

Également mardi, porte-parole du Haut Commissariat aux droits de l'homme, Rupert Colville, a déclaré « nous appelons le Président de l'Égypte à écouter les revendications et les souhaits du peuple égyptien ».

Ministre français Laurent Fabius a de même exhorté Morsi à « écouter » demandes. les manifestants

Sobhi Essaila, politologue à Al-Ahram Centre for Political and Strategic Studies, Xinhua a dit que « il semble que les États-Unis a pris sa décision d'abandonner les Morsi et les frères musulmans (MB) ».

Essaila dit Morsi n'est pas seulement face à "Pressions occidentales", mais il est aussi pressé par « mécontentement interne de ses propres hommes, représentée dans la démission de plusieurs ministres clés et les fonctionnaires. »

Il a également exprimé sa conviction que Morsi l'administration « avait déjà cariées, » notant que même si Morsi vous propose d'organiser un référendum au cours de son séjour, « il est devenu trop tard. »

« Le seul moyen de sauver lui-même et son groupe est d'organiser une élection présidentielle anticipée afin que le MB pourrait faire encore partie de l'équation politique, » a dit l'expert.

Préoccupations de l'Occident a progressé après que des affrontements entre opposants et partisans de Morsi a tué au moins 24 et blessé plus de 1 200 la semaine dernière. Des affrontements ont continué mardi, tuant au moins sept personnes et en blessant plus de 200 comme le compte à rebours pour l'ultimatum de l'armée est TIC-TAC.

Ahmed al-Fadali, politique coordonnateur expert et général de l'indépendant actuel, a l'Ouest et les États-Unis généralement couvrent leur appui à tout régime au titre de l'appui de son propre peuple.

« Lorsque cette couverture est enlevée par la colère du public, les États-Unis et l'Ouest n'ont pas une autre option que d'aller avec le pouls de la rue, » Fadali, qui représente 30 partis politiques, a déclaré à Xinhua.

Fadali, également chef du Parti démocratique de paix, Avis de Essaila que Morsi était devenu le côté le plus faible de l'équation fait l'écho. « Il est peut-être même en dehors de l'équation en quelque sorte. »

, Il a ajouté que même si Morsi refuse de cesser de fumer, il en fait a déjà été saccagé par des millions de personnes qui ont envahi les rues contre lui le 30 juin.

« la scène aurait été trop dangereuse sans les forces armées, » a souligné Fadali, ajoutant que la meilleure façon pour Morsi doit démissionner dans les prochaines heures, avant l'ultimatum de l'armée est fini.

Cependant, dans un discours télévisé mardi soir, Morsi a déclaré qu'il ne serait pas d'autre alternative pour la légitimité et qu'il paierait de sa vie comme prix pour elle.

Professeur de sciences politiques Tharwat Badawi a déclaré à Xinhua qu'il attend Morsi pour tenter de parvenir à un accord avec ses rivaux au lieu de cela, sinon il y aurait « rivières ou mer d'effusion de sang ».

Badawi a blâmé les conflits en cours sur un large terrain américano-israélien pour contrôler la région et de garantir la sécurité d'Israël « qui ne seront pas atteints avec la montée d'un pays arabes comme l'Egypte. » ↑

結果 (法文) 3:

Analyse d'actualités : Morsi de l'Egypte fait face à la pression occidentale d'écouter le protesters


par Mahmoud Fouly,

le CAIRE de Tian Dongdong, le 2 juin (Xinhua) -- La position du Président égyptien Mohamed Morsi devient plus instable pendant qu'augmentant les pressions occidentales invitent le président orienté Islamiste à écouter la demande des protestataires, les experts politiques locaux said.

Morsi fait face maintenant à une vague de protestations dans tout le pays qui l'invitent à ramener et demander une élection présidentielle tôt. En dépit d'être dans leurs millions, ses défenseurs, en grande partie Islamiste, sont considérablement dépassés en nombre par ses adversaires, qui inondent les rues principales et les places publiques du pays, ne vouant aucun retour avant son ouster.

le lundi,l'armée égyptienne a donné à tout le rival des parties une date-butoir de 48 heures pour résoudre le conflit politique actuel, ou il imposerait une feuille de route pour l'avenir du Président chaos-frappé Barack Obama de country.

États-Unis fait un appel téléphonique à Morsi tôt mardi matin pour donner ses soucis concernant les développements récents en Egypte, la Maison Blanche said.

« Les Etats-Unis sont commis au processus démocratique en Egypte et ne soutiennent pas n'importe quelle partie simple ou groupe, » Obama a dit Morsi.

« qu'il (Obama) a souligné la démocratie est au sujet de plus que des élections, » Morsi encourageant pour prendre des mesures « sensibles » aux nombreux anti- protestataires de président dans tout le pays et souligner la « grande préoccupation » au sujet de la violence possible pendant le demonstrations.

Également mardi, le porte-parole du haut commissaire d'ONU pour des droits de l'homme, Rupert Colville, a dit que « nous faisons appel au président de l'Egypte pour écouter les exigences et les souhaits des personnes égyptiennes. Les « Français de

le ministre des affaires étrangères que Laurent Fabius a pareillement poussé Morsi « écoutent » le demands.

Sobhi Essaila, expert politique des protestataires avec le centre d'Al-Ahram pour des études politiques et stratégiques,a dit Xinhua que « il semble que les Etats-Unis ont pris sa décision pour abandonner Morsi et la fraternité musulmane (MB). Le « 

Essaila a indiqué que Morsi fait face non seulement « à des pressions occidentales, » mais il est également serré par « le mécontentement interne de ses propres hommes, représenté dans la démission de plusieurs ministres et fonctionnaires principaux. « 

Il a également exprimé sa conviction que l'administration de Morsi « s'était déjà délabrée, » notant que même si Morsi offre de tenir un référendum au-dessus de son séjour, « il est devenu trop en retard. le « 

« la seule manière de se sauver et son groupe est de tenir une élection présidentielle tôt de sorte que le MB ait pu encore faire partie de l'équation politique, » a dit l'expert.

Les soucis de l'ouest se sont développés après que les désaccords entre les adversaires de Morsi et les partisans aient tué au moins 24 et ont blessé plus de 1.200 au cours de la semaine passée. Les confrontations suite le mardi, tuant au moins sept et les blessant plus de 200 comme compte à rebours pour les militaires ultimata est ticking.

Ahmed al-Fadali, expert politique et coordonnateur général du courant indépendant,a dit l'ouest et la couverture des Etats-Unis habituellement leur soutien de n'importe quel régime sous l'appui de son propre people.

« quand cette couverture est enlevée par colère publique, des Etats-Unis et de l'ouest n'a pas une autre option mais pour aller de pair avec l'impulsion des rues, » Fadali, qui représente 30 partis politiques, a dit Xinhua.

Fadali, aussi la tête du parti Democratic de paix,opinion de s d'Essaila fait écho 'que Morsi était devenu le côté plus faible de l'équation. « Peut-être il est même hors de l'équation comme si elle étaient. « 

il a ajouté que même si Morsi refuse de stopper, il réellement a été déjà renvoyé par des millions de personnes qui ont pris aux rues contre lui le 30 juin.

que « la scène aurait été trop dangereuse sans forces armées, » Fadali a soumis à une contrainte,ajoutant que la meilleure manière pour Morsi est de démissionner dans venir peu d'heures, avant que l'armée ultimata soit over.

cependant, dans un discours télévisé mardi soir, Morsi a dit qu'il n'y aurait aucune alternative pour la légitimité et qu'il payerait sa vie comme prix it.

Professeur Tharwat Badawi de la science politique a dit à Xinhua qu'il s'attend à ce que Morsi essaye de parvenir à un accord avec ses rivaux à la place, autrement il y aurait des « rivières ou des mers du carnage. Le « 

Badawi a blâmé les conflits actuels sur les larges États-Unis - complot israélien de commander la région et de garantir la sécurité de l'Israël « ce qui ne sera pas réalisé avec la hausse d'un pays arabe comme l'Egypte. »