More than 1,000 Iraqis killed in Ma

More than 1,000 Iraqis killed in May in Iraq's violence: UN


BAGHDAD, June 1 (Xinhua) -- The monthly death toll among Iraqis from violence in May reached more than 1,000 people killed, raising fears that the country could slide back into sectarian civil war, the United Nations said Saturday.

A statement by the UN Assistance Mission for Iraq (UNAMI) said that 1,045 people were killed and 2,397 wounded during the month by the unrest across the country.

The toll in May was more than that of April when the UN mission announced the deaths of 712 Iraqis, which by then was considered as the highest figure of deaths since 2008.

The Iraqi capital of Baghdad was the worst affected province with a total of 1,817 civilian casualties (532 killed, 1285 injured), the statement said.

"That is a sad record. The Iraqi political leaders must act immediately to stop the intolerable bloodshed," Martin Kobler, the UN envoy in Baghdad and head of UNAMI, said in the statement.

Tensions and violence have been escalating between the Sunni and Shiite communities since late December 2012, when the Sunni Muslims started their protests against the Shiite-led government in six of Iraq's predominantly Sunni provinces and the Sunni districts in Baghdad.

The Sunnis accuse the government of marginalizing them, and claim that the Shiite-dominated Iraqi security forces were indiscriminately arresting and torturing their sons.

However, the deadliest waves of violence began after April 23, when Iraqi security forces backed by helicopters stormed an anti- government Sunni protest in the city of Hawijah, some 220 km north of the Iraqi capital of Baghdad, killing and wounding dozens of protestors.

The military operation against the sit-in camp in Hawijah sparked further clashes across the country's predominantly Sunni provinces between the Sunni tribes and the security forces.

結果 (法文) 1:

plus de 1.000 Irakiens tués en mai dans la violence en Irak: un


Bagdad, le 1 juin (Xinhua) - Le bilan des morts par mois parmi les Irakiens de la violence en mai a atteint plus de 1.000 personnes ont été tuées, faisant craindre que le pays pourrait retomber dans guerre civile sectaire, l'ONU a déclaré samedi.

une déclaration de la mission d'assistance des Nations Unies pour l'Iraq (MANUI) a déclaré que 1.045 personnes ont été tuées et 2,397 blessés au cours du mois par les troubles dans le pays.

Le péage en mai a été plus que celle d'avril lors de la mission de l'ONU a annoncé la mort de 712 Irakiens, qui alors était considéré comme le chiffre le plus élevé de morts depuis 2008.

La capitale irakienne de Bagdad a été la pire province touchée avec un total de 1.817 victimes civiles (532 tués, 1285 blessés), indique le communiqué.

"C'est un triste record. Les dirigeants politiques irakiens doivent agir immédiatement pour arrêter l'effusion de sang intolérable", Martin Kobler, l'envoyé de l'ONU à Bagdad et chef de la MANUI, a déclaré dans un communiqué.

Tensions et la violence ont connu une escalade entre les sunnites et communautés chiites depuis la fin de décembre 2012,quand les musulmans sunnites ont commencé leurs manifestations contre le gouvernement à majorité chiite dans six essentiellement les provinces sunnites de l'Irak et les quartiers sunnites de Bagdad.

Les sunnites accusent le gouvernement de les marginaliser, et affirment que les forces de sécurité irakiennes à majorité chiite étaient indistinctement arrêter et torturer leurs fils.

cependant,les vagues meurtrières de violence a commencé après le 23 avril, lorsque les forces de sécurité irakiennes appuyées par des hélicoptères ont pris d'assaut une protestation sunnite anti-gouvernement dans la ville de Hawijah, à environ 220 km au nord de la capitale irakienne de Bagdad, tuant et blessant des dizaines de manifestants.

l'opération militaire contre le camp sit-in dans Hawijah a déclenché de nouveaux affrontements à travers le pays c'est surtout provinces sunnites entre les tribus sunnites et les forces de sécurité.

結果 (法文) 2:

Plus de 1 000 Irakiens tués en mai dans la violence de l'Irak: UN


Bagdad, 1 juin (Xinhua)--le bilan mensuel chez les Irakiens des violences en mai a atteint plus de 1 000 morts, faisant craindre que le pays pourrait glisser dans la guerre civile sectaire, a déclaré l'ONU samedi.

une déclaration de la Mission d'Assistance des Nations Unies pour l'Iraq (MANUI) a déclaré que 1 045 personnes ont été tuées et 2,397 blessés au cours du mois par les troubles à travers le pays.

le péage en mai a été plus que celui d'avril lorsque la mission de l'ONU a annoncé la mort de 712 iraquiens, qui alors était considérée comme le chiffre le plus élevé de décès depuis 2008.

La capitale irakienne de Bagdad a été la pire province touchée avec un total de 1 817 victimes civiles (532 tués, 1285 blessés), indique le communiqué.

"C'est un triste record. Les dirigeants politiques irakiens doivent agir immédiatement pour arrêter l'effusion de sang intolérable, » Martin Kobler, l'envoyé de l'ONU à Bagdad et chef de la MANUI, dit dans la déclaration.

ont été escalade des Tensions et la violence entre les communautés sunnites et chiites depuis la fin décembre 2012, Quand les musulmans sunnites ont commencé leurs protestations contre le gouvernement dirigé par le chiite dans six provinces majoritairement sunnite de l'Irak et les quartiers sunnites à Bagdad.

accusent le gouvernement de marginaliser les sunnites et affirment que les forces de sécurité irakiennes dominé par les chiites étaient indistinctement arrêter et torturer leurs fils.

Cependant, les vagues plus meurtriers de la violence a commencé après le 23 avril, quand les forces de sécurité irakiennes appuyés par des hélicoptères ont pris d'assaut un anti-gouvernement sunnite proteste dans la ville de Hawijah, à quelque 220 km au nord de la capitale irakienne de Bagdad, tuant et blessant des dizaines de manifestants.

L'opération militaire contre le camp de sit-in à Hawijah a suscité d'autres affrontements entre les provinces majoritairement sunnite du pays entre les tribus sunnites et les forces de sécurité. ↑

結果 (法文) 3:

Plus de 1 000 Irakiens tués en mai à l'Iraq la violence : L'ONU


BAGDAD, 1 juin (Xinhua) -- le bilan mensuel de morts parmi les Iraquiens de la violence en mai a atteint plus de 1 000 personnes tuées, ce qui fait craindre que le pays pourrait retomber dans guerre civile sectaire, l'Organisation des Nations Unies, a déclaré samedi.

une déclaration de la Mission d'Assistance des Nations Unies pour l'Iraq (MANUI) dit que 1 045 personnes ont été tuées et 2,397 Blessés au cours du mois par les troubles dans le pays.

le péage en mai était plus qu'avril lorsque la mission de l'ONU a annoncé la mort de 712 Iraquiens, qui était alors considéré comme le chiffre le plus élevé de décès depuis 2008.

La capitale iraquienne de Bagdad a été la pire province touchée avec un total de 1 817 victimes civiles (532 tués, 1285 blessés), la déclaration dit.

" C'est un triste record. Les dirigeants politiques iraquiens doit agir immédiatement pour arrêter les effusions intolérable," Martin Kobler, l'envoyé de l'ONU à Bagdad et chef de la MANUI, dit dans la déclaration.

les tensions et la violence ont été escalade entre les sunnites et chiites communautés depuis fin décembre 2012,Lorsque les musulmans sunnites ont commencé leurs protestations contre les Chiites-led gouvernement dans six de l'Iraq, à prédominance provinces sunnites et les sunnites districts de Bagdad.

Les Sunnites accusent le gouvernement de les marginaliser, et prétendre que le Chiite dominé par les forces de sécurité iraquiennes étaient aveuglément l'arrestation et la torture leurs fils.

cependant,Déchaînez les vagues de violence a commencé après le 23 avril, lorsque les forces de sécurité appuyées par des hélicoptères d'assaut anti- gouvernement sunnite protester dans la ville de Hawijah, à 220 km au nord de la capitale iraquienne de Bagdad, tuant et blessant des dizaines de manifestants.

L'opération militaire contre le sit-in camp de Hawijah suscité davantage d'affrontements partout au pays, à prédominance sunnite provinces entre les tribus sunnites et les forces de sécurité.